On frappa à sa porte

Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. ( La Bible, Apocalypse 3:20)

On rapporte quelque part cette touchante histoire. C’était en Ecosse pendant un froid hiver où d’abondantes chutes de neige rendaient les routes impraticables. Dans une pauvre masure, aux pieds d’un immense château appartenant à la couronne d’Angleterre, vivait une pauvre veuve dont le mari décédé depuis longtemps avait été le jardinier.

Elle habitait là, seule, avec ses maux multiples et ses pensées moroses. Les rigueurs de l’hiver venaient encore ajouter leurs calamités à sa triste situation : manque de nourriture, de chauffage, d’argent…

Soudain, on frappa à sa porte, en sursautant, elle se dit en elle-même : « Qui peut bien venir jusqu’ici ? » Un second coup, bientôt suivi d’un troisième plus violent lui fit ouvrir sa porte…

Stupeur ! sur le seuil, un valet en livrée royale déposa à ses pieds un immense panier rempli de victuailles de toutes sortes, et levant les yeux, là, à quelques mètres de sa porte, le carrosse de sa Majesté, et à la fenêtre la Reine en personne qui lui souriait et lui adressait un gracieux geste de la main !…

Elle est venue elle-même, en personne, dira-t-elle plus tard, Dieu soit loué de ce que j’ai ouvert ma porte. Et toi ami, ne sais-tu pas que quelqu’un frappe aussi à ta porte, celle de ton cœur pour te dire : laisse-moi entrer dans ta vie afin que j’y demeure.

Veux-tu m’ouvrir afin que j’apporte le cadeau de Dieu, son pardon !… Ne le laisse pas repartir avec son cadeau royal : sa paix, le salut pour ton âme.

Accepte ce qu’il t’apporte. La joie et la paix seront ton partage et rempliront ta vie de joie.

  « O toi Seigneur Jésus intarissable source De la paix, de la joie et du seul vrai bonheur Viens Jésus viens remplir mon cœur qui dans sa course Depuis longtemps déjà te désire Seigneur. Car nul autre que toi ne peut ô Rédempteur Dans ce triste désert, satisfaire mon cœur ».  


Jules DEPIERE

Source : Evandis

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