De la détresse à la joie de vivre en Jésus

Vers l’âge de 15 ans, j’ai commencé à me sentir de plus en plus mal dans ma peau, un très grand mal-être s’est progressivement installé en moi et pour me sentir mieux, je me réfugiais dans un monde imaginaire d’où je revenais uniquement pour le lycée. Je n’ai osé en parler ni à mes parents qui sont chrétiens ni à mon pasteur qui m’aurait donné de précieux conseils et aurait prié pour moi.

Le mal-être est devenu de la dépression de plus en plus profonde puis en première année d’école infirmière à Évreux de la folie. Je ne dormais plus, je ne trouvais plus du tout le sommeil, je me faisais vomir. Je faisais très souvent des cauchemars où je me voyais sauter d’un pont avec des serpents dans l’eau qui m’appelaient à eux. J’avais cette pensée mensongère en moi, inspirée par le diable, que ma vie ne pourrait pas dépasser 25 ans.

Mes parents faisaient 40 km aller-retour plusieurs fois par semaine, pendant plusieurs mois de cette première année, pour prier pour moi, par peur que je me suicide. J’ai vu l’Amour de Jésus simplement au travers de l’Amour de mes parents.

Au début de la deuxième année, avec mes parents, nous avons décidé d’un commun accord d’arrêter ces études tant J’étais malheureux et en pleine détresse. Ils m’ont payé une formation par correspondance pour retenter des concours l’année suivante, ce qui pour mes parents ouvriers, est un véritable sacrifice financier.

Dans le même temps, à la maison, j’ai eu à cœur de lire la parole de Dieu (de m’en nourrir !), de prier et parfois des nuits entières où je me faisais énormément de bien. La dépression s’en est allée comme l’eau d’une rivière qui emporte au loin des déchets. La détresse a fait place à la joie et au bonheur de vivre. Merci à Jésus de m’avoir tant aimé et pardonné de mes péchés, de m’avoir délivré de mes souffrances intérieures et de tous ces mensonges.

Je n’ai pas assez de mots pour dire Merci à Jésus ! Il est bon et tellement merveilleux pour secourir le malheureux.
J’ai vu sa fidélité, sa grâce depuis ses 35 années dans ma vie personnelle, dans mon couple, dans mon travail,…

E.

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