La douceur

Elle va à contre-courant de l’atmosphère qui règne dans la société : le climat dans lequel nous vivons est imprégné de violence (verbale, gestuelle, comportementale…)

La douceur n’est pas une attitude extérieure et mielleuse qui cache une méchanceté intérieure (proverbes 26/24-26), ni de la mollesse.

Le dictionnaire dit : « Qualité de ce qui a une saveur agréable ou qui produit une sensation agréable. Désigne aussi la qualité de ce qui est malléable, qui ne casse pas ».

Examinons le passage de Matthieu 21/5-9 :
Ton roi : personnage impressionnant ;
vient à toi : voici que ce personnage important s’approche de nous ! Que nous veut-il ? Quelles sont ses intentions ? Pourquoi nous ?
plein de douceur et monté sur un âne : subitement, tout va mieux. Nous voilà rassurés. Jésus vient à nous plein de douceur.
Sa merveilleuse douceur n’empêche pas qu’il est le roi, ayant un pouvoir infini ;
Sa douceur nous rassure, nous attire, nous sauve, nous transforme en la même image.
Le croyant né de nouveau produit la même douceur que celle de Jésus.
La douceur du cœur :
« car je suis doux et humble de cœur (Matthieu 11/29) ».

La douceur dans les propos qui sortent de notre bouche :
« Une réponse douce calme la fureur (Proverbe 15/1) ».

La douceur lorsque nous écoutons la Parole de Dieu (Jacques 1/21)
La douceur face aux incroyants (1 Pierre 3/15).
À notre tour, soyons doux et humbles de cœur !

Jean-Marc TCHERKECHIAN

Source : Evandis

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